
À l’aéroport, un chauffeur de taxi prénommé
Alberto nous prend en charge pour nous mener dans le quartier Miraflores où
nous avons réservé un dortoir avec salle de bain privée dans un HI (auberge de
jeunesse). Lima est une grande ville et
Miraflores est un de ses quartiers résidentiels et commerciaux plutôt
chic. Il nous faut 40 minutes entre
l’aéroport et ce quartier. Nous passons
en bordure du Pacifique. Le bord de mer,
avec le ciel toujours gris de Lima en hiver, est un peu terne. Mais il y a des surfeurs par dizaine. La plage semble quand même animée. En route, Alberto nous offre un tour de ville
en taxi pour le lendemain : de 9h à 17h, on verrait tout! Huit heures assis dans un taxi… non merci ! Par contre, nous acceptons sa deuxième
offre... nous en reparlerons.




Ensuite, nous retournons à notre HI. Le HI de Lima/Miraflores est très
intéressant. À l’intérieur, il y a de
belles boiseries, plusieurs cadres anciens et contemporains, un escalier
monumental, une piscine creusée et une femme de chambre adorable et
allumée : Irma! Le lendemain, Irma
nous passera sa carte de transport afin de nous éviter le frais d’achat d’une
carte. Nous n’aurons qu’à acheter
quelques crédits de transport. En
soirée, on descanse (se repose) en
écrivant le bogue sur Machu Picchu. Les
enfants se paient un programme double sur la grosse TV du salon.
Lundi matin, allons explorer le centre de
lima. On nous propose d’y aller avec le
Métropolitain, un métro-bus de surface.
On y va, mais c’est compliqué.
Tout d’abord, pour avoir des crédits de transport, il faut avoir le
montant juste, car ils ne donnent pas de changes. Ensuite, il faut avoir foi en
la vie, car il n’y a ni carte, ni itinéraire, ni aucune indication sur les
différentes voies (A, B, C,?) ni sur la séquence des stations. Alors, bien entendu, on aura payé 10 soles de
trop (3$) et on aura dépassé le centre-ville de plusieurs stations, car nous
n’étions pas sur la bonne voie.


Ensuite, on rembarque dans le
Métropolitain, notre but étant de passer par la plage avant de souper. Objectif manqué, car l’absence totale
d’information et de plan dans le transport public nous empêche de progresser.
On se reprendra. On profite de notre
retour dans Miraflores pour se trouver une cebecheria conseillée par le Routard
pour souper. Il semble que dans ce
quartier, le Cebiche soit une spécialité du midi, car les Cebecherias sont
toutes fermées! Un cuadra (coin de rue)
plus loin, on entre dans un sushi-bar.
On y déguste d’excellents sushis dont le maki au Cebiche. Miam!


Nous préparons une expédition vers le Nord,
nous vous en reparlerons!
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